
Pourquoi la conduite de nuit est dangereuse? La nuit, les risques d’accident sont multipliés par ce que dans votre véhicule, vos perceptions visuelles sont atténuées, ainsi que le
champ visuel et le sens du relief. Les appréciations et jugements sont moins précis, il faut alors redoubler de prudence et adapter votre conduite à votre visibilité. Réduisez votre vitesse, ce qui vous permettra de mieux anticiper une situation inhabituelle, ou potentiellement dangereuse.
Les risques supplémentaires à la tombée de la nuit sont pour l’essentiel :
La baisse de la vigilance, la somnolence et l’appréciation faussée des perspectives.
L’éblouissement par le brusque passage de la pénombre à la vive Le point noir lors du passage de la lumière à la pénombre. Une faible visibilité : la prise de conscience des obstacles, piétons animaux, et autres usagers non éclairés seulement à leur entrée dans
le faisceau des phares (environ 100m), ou des feux de croisements (environ 30m) peut nécessiter une vitesse adaptées. La présence accrue des animaux sauvages ou domestiques errants. L’impossibilité d’esquiver les nids de poules et les véhicules mal stationnés sur la route.
Anticiper : Evitez au maximum de conduire de nuit.
S’il vous arrive de le faire multiplier les pauses pour rester en éveil. Conduisez doucement. Votre vitesse de nuit doit être inférieure à celle de la journée. Les temps de réaction sont allongés en cas de survenue d’un obstacle ou d’une personne sur ou à côté de la chaussée.
Avant de mettre en route de nuit :
– Nettoyer vos optiques de phares
– Laver vos rétroviseurs et pare-brise
– Vérifier l’usure de vos balais d’essuie-glaces, le liquide lave glace et le chauffage des vitres
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